Sunday 30 December 2012

FRANCE SIONISTE - DISSOUDRE SOS-RACISME

 lundi, 10 décembre 2012

 

 

IL FAUT DISSOUDRE SOS-RACISME !

sos racisme 2.jpgEn 1984, François Mitterrand, en délicatesse dans les sondages, notamment parmi les jeunes, favorisa l’émergence d’un mouve­ment destiné à appâter une partie de la jeu­nesse qui lui échappait en s’appuyant sur la naïveté qui souvent la caractérise.
Ce fut la naissance de SOS-racisme, association qui, au-delà des calculs électoraux, prétendait mo­biliser les Français contre un prétendu racisme dans la nation certainement la moins raciste au monde. Vaste défi apparent mais la pusillanimité de nos contemporains lui facilita grandement la tâche.
De puissants parrainages permirent à l’association naissante d’atteindre rapidement une notoriété média­tique sans commune mesure avec le poids de ses maigres troupes. Le Grand Orient de France, la MNEF, les CFDT, l’UEJF (Union des étudiants juifs de France) et la FEN (Fédération de l’éducation nationale) accueilli­rent avec un enthou­siasme actif et généreux la création de l’officine dont la fonction essentielle et l’action se résumè­rent à calomnier les Français de souche et à ma­nipuler les immigrés afin de leur faire redouter un racisme latent sinon exprimé chez leurs hôtes, et cela bien mal­gré eux. Du côté des personnalités, l’incontournable Ber­nard-Henri Lévy (alias la « mouche du coche »), Jacques Attali (le poly­graphe compulsif), Marek Halter (l’homme à l’imagination débordante), Jack Lang et de nom­breux « intellectuels » apportèrent leur soutien in­conditionnel à l’expérience trostko-socialiste.
A ces grandes âmes se joindront les soutiens son­nants et trébuchants émanant de Christophe Ri­boud, le fils du milliardaire Antoine Riboud, ou d’un Pierre Bergé, co­propriétaire du quotidien Le Monde et propriétaire de Têtu, le magazine de prédilection des homosexuels branchés et quelques autres généreux riches mécènes.
A ces prestigieux parrainages vint s’agglomérer l’inévitable cohorte des « idiots utiles » tels Simone Signoret, Yves Mourousi, Dominique Baudis, Jacques Toubon et quelques dizaines d’autres notoriétés dont la motivation profonde ne relève bien souvent que de leur vie intime et des fan­tasmes y afférents.
Il ne manquait plus que trouver un secrétaire géné­ral suffisamment terne pour feindre de présider aux desti­nées de cette organisation exclusivement animée par des trotskistes issus le la Ligue com­muniste révolution­naire et de la MNEF et dont le véritable patron, Julien Dray, tirait l’ensemble des ficelles. C’est au jeune et falot Jean-Philippe Désir, alias Harlem Désir (tout un programme !), actuel président du PS, qu’incomba ce rôle de composi­tion. Ce métis, idéal représentant de la France plurielle, offrait à SOS ra­cisme la vitrine d’une France multicolore tout en évitant l’écueil d’éventuelles revendications identitaires. De fait, il fallait que ce ne fut ni un Maghrébin, ni un Africain, ni un Asiatique et encore moins un Français de type euro­péen qui présidât à l’association. Pour mieux comprendre la stratégie, il suffit de se réfé­rer à l’élection présidentielle des Etats-Unis.
Cette stratégie ne trompa d’ailleurs que ceux des­tinés à l’être et Jean-Philippe (Harlem) Désir fut immédiate­ment considéré par tous comme l’homme de paille de Julien Dray ainsi que le relate sans ambigüité aucune Serge Malik, l’un des mili­tants de la première heure, dans son « Histoire secrète de SOS racisme » parue en 1990 (chez Albin Michel).
Julien Dray, grand amateur d’objets de luxe et no­tam­ment de montres, fit l’objet d’une enquête pour abus de confiance, notamment motivée par d’étranges mouve­ments de fonds entre l’association des « Parrains de SOS racisme » et son compte en banque ainsi que pour de curieux prêts dont lui firent bénéficier Gérard Sebag, un commerçant d’Antibes, Marc Rozenbat, époux d’Isabelle Thomas, une pétroleuse de l’UNEF-ID dans les années 80 recyclée dans l’entourage de Mitterrand, et Pierre Bergé. Preuve s’il en fallait que les grands idéaux ne suffisent pas toujours au complet détachement des biens de ce monde. Ses tourments judiciaires mirent Julien Dray, Juju comme l’appellent ses proches, en relative dis­grâce parmi ses « amis » du PS. Sa dernière bourde n’arrangea certes pas les bidons : une se­maine avant le second tour de la dernière prési­dentielle, Dray invita Dominique Strauss-Kahn à son anniversaire, dans un ancien sex-shop trans­formé en restaurant, rue Saint-Denis, faisant fuir par des sor­ties dérobées de prestigieux invités parmi lesquels Sé­golène Royal, Emmanuel Valls ou Pierre Moscovici, peu en­clins à fréquenter l’infréquentable ex-patron du FMI (Fourre-Moi Im­médiatement persiflent quelques mau­vaises langues), surtout en un tel endroit symbolique. Est-on plus maladroit ?
Par ailleurs, la gestion n’est certainement pas le point fort de SOS racisme, épinglée systémati­quement par le Cour des comptes sans qu’apparemment les conseils de la docte institution ne modifient notoirement les pratiques. Nourrie aux subventions et dons divers, SOS racisme per­çut en 2010, 579 000 € de subventions auxquels s’ajoutent les dons à hauteur de 100 000 € pour Pierre Bergé, 72 000 € pour la Fondation Ford et, le bouquet, 348 000 € en 2009 pour le FASILD, asso­ciation dédiée à l’accueil des migrants qui elle-même vit de subventions... Sans parler des fonds spéciaux du Premier ministre mobilisés pour sauver SOS racisme de la banqueroute. On vous épargnera les détails des dé­mêlés judiciaires, les perquisitions, les fausses factures (affaire C.Discount), les ventes de tableaux à SOS ra­cisme, les gardes à vue, l’intervention de la Bri­gade financière et autres épisodes crapoteux. Pour simplifier, c’est 98% de ses ressources qui provien­nent de subventions et de dons tandis que les cotisa­tions n’en représentent que 2%.
En somme, il est demandé aux Français de payer tou­jours davantage pour se faire soupçonner de racisme et insulter par une organisation qui n’est qu’une, mais non la moindre, courroie de trans­mission du Parti socialiste destinée à recycler des trotskistes en recherche d’emploi, si possible pres­tigieux. La preuve ? Jean-Phi­lippe (Harlem) Désir, promu aux fonctions de secrétaire général du parti en question dont l’ancien locataire est devenu… Président de la république. Le tremplin semble puissant, c’est le moins qu’on puisse dire. Il n’est que temps de dissoudre cette coûteuse officine hostile à la France française.

Derrière SOS-racisme :
la volonté génocidaire des mondialistes…
La France n’est plus maîtresse de son destin. Notre pays n’est plus dirigé par ce qui est censé être « son gouvernement » mais par les Conseils d’administration des banques apatrides. Ce sont eux qui décident quel sera l’avenir de la planète… Leur objectif : imposer une économie globale en transformant la terre en un vaste marché mondialisé dans lequel l’Homme ne serait plus qu’un consommateur docile juste bon à enrichir les comptes des multinationales.
Dans cette vision mondialiste des choses, il n’y aurait bien entendu plus de place pour les nations, les races et même pour les sexes. L’introduction par le gouvernement Sarkozy-Fillon de la théorie dite « du gender » à l’école est une étape vers cette destruction programmée des identités. L’homme idéal pour les mondialistes sera métissé, déraciné et asexué…
Mais pour arriver à leur but ils doivent par tous les moyens détruire toutes les formes de résistances natio­nalistes et identitaires. Pour cela ils se servent de petits collabos tels SOS racisme pour entretenir un cli­mat de haine permanente contre la France et contre son peuple.
Combattre SOS-racisme, c’est combattre pour le renouveau de la France !
Combattre SOS-racisme, c’est défendre notre identité européenne !

Pour prononcer la dissolution de SOS-racisme, il suffit d’appliquer la loi !
L’article L 622-1 du Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile (CEDESA), « pu­nit de 5 ans de prison et de 30 000 € d'amende quiconque favorise l'en­trée, la circulation ou le sé­jour irrégulier d'un étranger en France ».
En soutenant les clandestins qui s’installent sur le territoire français, SOS racisme contrevient régu­lière­ment à l'article ci-dessus. SOS racisme doit donc être mis hors la loi. Pour cela, il suffit de se référer à l'ar­ticle 450-1 du Code pénal définissant comme une association de malfaiteurs « toute as­sociation établie en vue de la préparation ca­racté­risée par un ou plusieurs crimes ou délits punis d'au moins 5 ans de prison ». Ce qui est le cas de SOS racisme.
Les adversaires de ces dispositions, prétendent que SOS racisme, comme toutes les autres offi­cines du même type, détiennent leurs pouvoirs notamment du « Plan national d'action contre le racisme et l'anti­sémitisme » du 15 février 2012, pour la période 2012-2014, élaboré par MM Sar­kozy et Guéant.
Mais il faut savoir que ce plan fait référence à l'ar­ticle 10 du TFUE (Traité sur le fonctionnement de l'Union européenne) dit "de Lis­bonne" qui sti­pule : « Dans la définition et la mise en œuvre de ses politiques et actions, l'Union cherche à com­battre toute discri­mination fondée sur le sexe, la race ou l'origine ethnique, la religion ou les con­vic­tions, un handicap, l'âge ou l'orienta­tion sexuelle ».
Ce que le Peuple refuse, le Con­grès l’impose !
Or, ce traité, et ce texte, ne sont que la reconduc­tion du « Traité pour une Constitution euro­péenne » rejeté massivement par le Peuple fran­çais lors du référendum en mai 2005 et sournoi­sement réintroduit par un vote du Congrès à Ver­sailles en 2008… sous la présidence de M. Sar­kozy. Il s’agit donc là, à nos yeux, d’une véritable forfaiture. La ratifica­tion de ce « Traité », dès lors, ne pouvant avoir de légitimité ni de valeur con­trai­gnante sur le territoire de la Répu­blique fran­çaise. Quel crédit peut-on en effet accorder à une as­semblée dans laquelle plus de 6 millions d’électeurs nationaux à la présidentielle sont re­présentés par seulement 3 députés alors que les Verts, avec 800 000 voix, ont près d’une vingtaine de députés.
Nous vivons actuellement sous un régime édic­tant des lois non fondées sur la volonté du peuple sou­verain, donc illégales sur le fond. Quelle légi­timité peut-on en effet accorder à des assem­blées qui ne représentent qu’une minorité de Français ?

ALLER AU-DELA…
Nous savons bien que nous n’avons pas grand-chose à attendre du « pouvoir » actuel complètement in­féodé qu’il est aux mondialistes. Notre but est avant tout d’éclairer notre peuple. Seule l’instauration d’un ordre nouveau, nationaliste, populaire, social et identitaire permettra à la France de retrouver sa liberté et son identité !
En réalité, au-delà du cas SOS-racisme, se sont toutes ces pompes à fric, tels le MRAP, la LICRA, la LDH et autres qu’il faudrait mettre hors d’état de nuire. Par leur obsession procédurière et en se conduisant en véritable petits flics de la pensée, elles cherchent à détruire tous les formes de résistance nationales et identitaires à l’invasion de notre sol.
Un jour viendra où nos compatriotes seront bien obligés d’ouvrir les yeux…

Pour soutenir la campagne pour la dissolution de SOS-racisme :
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16:17 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | Envoyer cette note |


EXIGEONS LA DISSOLUTION DE SOS RACISME

APPEL NATIONAL A LA SECESSION

  • Contre les diktats de Bruxelles : Le site de l'Appel national à la sécession :
  • Faisons sécession !

Combat national et identitaire

A l'occasion de la 6e Journée de Synthèse nationale : EDITION D'UN OUVRAGE COLLECTIF CONSACRE A LA CRISE ET A "L'AUTRE EUROPE"...

Autre Europe.jpgAuteurs : ouvrage collectif
Editeur : Les Bouquins de Synthèse nationale
Année : 2012
166 pages, 18,00 €
Depuis septembre 2008 une crise, sans doute aussi grave que celle de 1929, asphyxie l’Europe. La France n’échappe pas à cette situation de plus en plus préoccupante. Aucun gouvernement, ni aucun parti du Système, ne semble capable d’apporter des solutions efficaces pour sortir de ce marasme. Les peuples européens ne croient plus en leurs dirigeants, pire encore, ils ne croient plus dans leur avenir…
En réalité, cette crise remonte à beaucoup plus longtemps. Depuis une soixantaine d’années, l’Europe que l’on nous propose, ou plutôt que l’on nous impose, n’est qu’un ersatz imaginé et réalisé par des technocrates serviles, dénués de toutes conscience nationale ou identitaire, dont la seule raison d’être est de servir, sur notre continent, les intérêts de l’hyper-classe mondialiste. Ils ont livré l’Europe, et les nations qui la composent, au bon vouloir des prédateurs de la Goldman & Sachs et autres banques apatrides…
Alors, un autre destin pour l’Europe est-il possible ? Certainement, mais celle-ci devra vite rompre avec les carcans qui lui sont jusqu’à présent imposés. Tout est une question de volonté.
Ce livre n’a pas, loin s’en faut, la prétention d’être ni un programme ni un quelconque manifeste. Nous avons interrogé une trentaine de personnalités (politiques, écrivains, journalistes, responsables associatifs…) françaises ou européennes qui ont toutes un point commun : l’amour de la civilisation européenne. Chacune d’entre elles, avec ses références et sa sensibilité, a répondu à nos questions. Ces réponses peuvent sembler parfois paradoxales.Il en découle cependant une certitude : la fin de notre civilisation et de notre identité ne sont pas une fatalité.
Cette enquête pour une autre Europe a la volonté d’ouvrir des pistes nouvelles, des pistes aussi éloignées les unes que les autres du libéralisme et du socialisme…

Liste des contributeurs :
Franck Abed, écrivain, Gabriele Adinolfi, écrivain (Rome), Serge Ayoub, Président de 3e voie, Lionel Baland, journaliste (Liège), Francis Bergeron, écrivain, Thibaut de Chassey, Président du Renouveau français, Pierre Descaves, ancien député, Georges Feltin-Tracol, écrivain, André Gandillon, rédacteur en chef de Militant, Nicolas Gauthier, journaliste, Olivier Grimaldi, Président du Cercle franco-hispanique, Pieter Kerstens, chef d’entreprise (Bruxelles), Pierre Le Vigan, écrivain, Patrick Parment, journaliste, Luc Pécharman, membre du Bureau de la Nouvelle Droite Populaire, Martin Peltier, journaliste, Dr Bernard Plouvier, écrivain, essayiste, Philippe Randa, écrivain, Enrique Ravello, responsable de Plataforme pour la Catalogne (Barcelone), Alain Renault, ancien secrétaire général du Front national, Jean-Claude Rolinat, écrivain, Marc Rousset, économiste, Gilbert Sincyr, ancien président du GRECE, Robert Spieler, ancien député, Hervé Van Laethem, membre de la direction de Nation (Bruxelles), Pierre Vial, Président de Terre et peuple, Gabor Vona, Président de Jobbik (Budapest) et un texte en annexe de Bruno Mégret, fondateur du MNR...
Présenté par Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale
Face à la crise : une autre Europe, enquête, Editions Les Bouquins de Synthèse nationale, 18 € (+ 3€ de port), 166 pages, novembre 2012.

11/10/2012

Le Numéro 29 (septembre octobre 2012) de Synthèse nationale est sorti !

Couv SN 29.jpgAu sommaire :
 ● Editorial de Roland HÉLIE :     La piteuse attitude d’un maire tombé en dhimmitude
● PIETER KERSTENS : Ensemble contre le nouveau totalitarisme…
●ARNAUD RAFFARD DE BRIENNE : Jean-François Copé découvre le « racisme anti-blanc »
● LUC PÉCHARMAN :               Vive la Reine !
● GEORGES DILLINGER :           Le dilemme de Cassandre
● PHILIPPE RANDA :                     Et mes CRS, tu les aimes mes SS ?
● ROGER HOLEINDRE :         Devoir de vacances…
● MARTIAL BILD :                         La France effondrée…
● BERNARD BRES :          L’Esclavage moderne
● PATRICK PARMENT : Croissance : la fin d’une illusion…
● MARC ROUSSET : Les délires droit-de-l’hommistes de BHL en Libye et en Syrie !
● LIONEL BALAND : Le livre La nouvelle colonisation de Filip Dewinter
● JEAN-CLAUDE ROLINAT : Images de Buenos Aires et mémoire d’Évita
● JEAN-PAUL CHAYRIGUES DE OLMETTA : Les pages du Marquis…
● FRANCIS BERGERON : Le « scandale » Richard Millet
Et bien d’autres rubriques…
 130 pages, 12 €
 ABONNEZ-VOUS !
 1 an (6 numéros) : 50 €, soutien 100 €
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09/10/2012

Sortie le 20 octobre : JACQUES DORIOT ET LE PPF, historisme réalisé par Bernard-Henri Lejeune...

Historisme Jacques Doriot et le PPF_1.vign.jpgAuteur : Bernard-Henri Lejeune
Editeur : Les Bouquins de Synthèse nationale
Année : 2012
170 pages, 18,00 €
Edité une première fois en juillet 1977, cet « historisme » fut longtemps le seul livre de référence sur Jacques Doriot et sur le Parti populaire français. L’ensemble des documents qui le compose, rassemblés par Bernard-Henri Lejeune, constitue une véritable mine de renseignements à la fois sur l’homme et sur le parti. La lecture de ces textes, écrits par les intellectuels les plus en vue de l’époque, tels Pierre Drieu La Rochelle, Pierre Dominique, Robert Brasillach, François Mauriac, Bertrand de Jouvenel, Roland Gaucher, Maurice Duverger et bien d’autres, ou retrouvés dans les archives d’anciens responsables du PPF, permettra de se faire une opinion dégagée des poncifs de l’historiquement correct sur cette grande aventure qui marqua l’histoire des mouvements nationalistes français dans les années 30.
L’auteur :
Bernard-Henri Lejeune, dès l’âge de 16 ans, fut militant dans les organisations de jeunesses du Parti populaire français. Toute sa vie il resta fidèle à son engagement et il fit son possible pour défendre, envers et contre tous, la mémoire de Jacques Doriot. Il anima dans les années 60 et 70 le Cercle d’études politiques et sociales, association nationaliste très active en Picardie.
Commandez Jacques Doriot et le PPF :
Règlement à la commande par chèque à l’ordre de Synthèse nationale à retourner à :
Synthèse nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris
18, 00 € l’exemplaire (+ 3 € de port)
Nombreuses illustrations, 1re partie : avant la défaite de 1940 (parution de la seconde partie au printemps 2013)

19/09/2012

Dimanche 11 novembre, à Paris, 6e Journée nationale et identitaire de Synthèse nationale...

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14/09/2012

"HISTOIRE DES FASCISMES" de François Duprat diffusé par Les Bouquins de Synthèse nationale...

I-Grande-9457-histoire-des-fascismes--selection-presentation-et-annexes-par-alain-renault_net.jpgVoici une excellente initiative que d’avoir réédité en un volume cette Histoire des Fascismes. En fait, une sélection d’articles rédigés par François Duprat (1940-1978) et issus de la Revue d’histoire du Fascisme (1972-1977). Ces textes n’ont pas pris une ride tant les intentions premières de François Duprat sont toujours d’actualité. François Duprat était ce que l’on appelle un intellectuel organique pour qui les idées ne valent que si elles justifient l’action. C’est la raison pour laquelle il a recherché dans les fascismes européens, moins leurs idées que ce qui leur a permis d’approcher le pouvoir à défaut de le prendre comme ce fut le cas en Italie. Car, première leçon de l’ouvrage, il n’y a pas eu "Un" mais bien des fascismes qui sont autant de reflets des caractères d’un peuple et d’une nation à un moment donné. Tant il est vrai aussi que le fascisme ne répond pas d'une doctrine figée mais s'adapte aux circonstances. Le fascisme, c'est aussi et d'abord un pragmatisme et... une esthétique.

Autre idée forte et fondamentale bien mise en valeur par François Duprat : le fascisme ne peut voir le jour qu’avec l’assentiment du peuple et non contre lui. Ce qui rend le fascisme tout à fait original et très différent des totalitarismes – communistes entre autres - comme devait si bien le démontrer Claude Polin dans son opuscule sur le totalitarisme (QSJ ? PUF. 1995, 3e éd.). Ajoutons à cet ouvrage, passionnant à plus d’un titre et d’une rigueur historique sans faille, une préface très éclairante d’Alain Renault situant la portée de l’œuvre et des idées de François Duprat, un garçon beaucoup « trop tôt enlevé à notre affection » comme disait le grand historien Jean-François Chiappe.
Patrick Parment (Le Journal du Chaos)

Le livre de François Duprat Histoire des Fascismes, initialement publié dans les années 70 et réédité au printemps dernier par Deterna, est désormais diffusé par Les Bouquins de Synthèse nationale. Ce livre est préfacé par Alain Renault. Vous pouvez vous le procurer en cliquant ici ou en nous retournant le bulletin de commande suivant cliquez là.
Histoire des Fascismes, François Duprat,
310 pages, 29 € + 3 € de port.
L'auteur :
François Duprat, historien, auteur d'une douzaine de livres consacrés au fascisme ou à l'histoire du XXe siècle, était aussi l'un des théoriciens du nationalisme révolutionnaire en France. Il fut mystérieusement assassiné le 18 mars 1978 en Normandie, près de Caudebec en caux, ville où il enseignait.

31/08/2012

LE DICTIONNAIRE DES POLEMISTES

2277121978.jpgAuteur : Robert Spieler
Éditeur : Les Bouquins de Synthèse nationale
Année : 2012
156 pages, 18,00 €

Tout au long de l’année 2011, Robert Spieler a proposé aux lecteurs de Rivarol, l’hebdomadaire de l’opposition nationale et européenne, une série d’articles consacrés aux polémistes qui marquèrent l’histoire de la presse depuis la Révolution française, jusqu’au milieu du XXe siècle. Il reprend ainsi le travail effectué par Pierre Dominique dans son ouvrage publié au début des années 60 (et aujourd’hui épuisé) Les Polémistes français depuis 1789.

Ce Dictionnaire des polémistes rassemble tous ces articles. Vous retrouverez ici les grands noms qui, en leur temps, marquèrent les esprits. Ils n’hésitaient pas à dénoncer les puissants du moment. Beaucoup parmi eux payèrent très cher leur engagement. Aujourd’hui, la liberté d’expression se heurte encore aux ukases du politiquement correct et, comme hier, des lois liberticides, beaucoup plus insidieuses sans doute, empêchent les vrais polémistes de s’exprimer…
L'auteur : 

Robert Spieler, ancien député, fondateur d’Alsace d’abord, Délégué général de la Nouvelle Droite Populaire, est aussi l’un des journalistes de l’hebdomadaire Rivarol. Chaque semaine il décortique avec délectation et cynisme l’actualité dans sa fameuse Chronique de la France asservie et résistante. 

Commandez Le Dictionnaire des Polémistes :

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Le numéro 28 de la revue Synthèse nationale

Couv Synth. Nat. - 28.jpg
Au sommaire :
- Editorial de Roland Hélie : Après les élections, le combat continue...
- Retour sur les législatives...
- Patrick Parment : Défaite d'une droite sans valeurs...
- Arnaud Raffard de Brienne : Honneur à l'oeuvre de la France en Algérie...
- Bernard Bres : Agriculture, de l'autosuffisance alimentaire aux dégats du productivisme...
- Georges Dillinger : La dénatalité ou le suicide d'une race...
- Luc Pécharman : Les municipales, pour quoi faire ?
- Jean-Claude Rolinat : Syrie, redoutons l'"effet papillon"...
- Lionel Baland : Dossier Jörg Haider, l'homme qui ébranla l'Europe... A l'occasion de la sortie de sa biographie.
- Francis Bergeron : Histoire des fascismes de François Duprat...
- La sortie du Dictionnaire des polémistes aux Editions Les Bouquins de Synthèse nationale.
Les rubriques de Philippe Randa, du Marquis Jean-Paul Chayrigues de Olmetta, d'Yves Darchicourt, de Luc Barbulesco et de Pieter Kerstens...
N°28, Juillet Août 2012, 124 pages, 12 €.
Abonnement : 6 numéros 50 €, soutien : 100 €
Chèque à l'ordre de Synthèse nationale à retourner à
Synthèse nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris
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LE GUIDE DE SURVIE EN SOCIETE ISLAMIQUE

contre l'islamisation 1.jpg56 pages, présenté et rédigé par Filip Dewinter, député d'Anvers (Vlaams belang) et par Robert Spieler, des textes percutants, de nombreuses illustrations…

Ce « document militant » proposé par la revue Synthèse nationale est destiné à informer les Français de ce que sera leur vie quotidienne en cas de victoire, un jour, de l’islam en Europe.

En effet, l’implantation massive de populations musulmanes, venues en particulier du continent africain, risque de modifier de façon définitive les coutumes et les traditions sur notre continent. Lorsqu’il s’agit de "définitif", nous pensons qu’il est préférable de prévoir plutôt que de voir. Afin d’éviter bien des surprises et, au-delà, des déconvenues à nos compatriotes, nous avons donc décidé de publier ce « Guide de survie dans une société islamique ».

Nous vous conseillons, à toutes fins utiles, de conserver précieusement ce document…

● 1 exemplaire : 5 € ou 7 timbres postes au tarif en vigueur

● 25 exemplaires : 30 €
Bulletin de commande : 
Bulletin de commande du Guide de survie dans une société islamique

SALAZAR le regretté...

SN 26 Salazar.jpgAuteur : Jean-Claude Rolinat
Éditeur : Les Bouquins de Synthèse nationale
Année : 2012
164 pages, 18 €
Antonio de Oliveira Salazar, chef du Portugal nationaliste, l’Etat nouveau, de 1926 à 1968. Peu connu des nationalistes français il transforma ce petit pays, fort d’un empire gigantesque que beaucoup trouvaient anachronique et que certains convoitaient, en une nation moderne. Et, 40 ans après sa mort, 41% des Portugais le considèrent comme le plus grand de leurs compatriotes, devant le navigateur Vasco de Gama… Loin des clichés véhiculés par les tenants de la pensée unique, cette biographie que nous propose Jean-Claude Rolinat remet les choses à leur place.

Préfacé par Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale

Postfacé par Duarte Branquinho, directeur de l'hebdomadaire nationaliste portugais O Diablo.
L'auteur :
Né en 1944, Jean-Claude Rolinat fit une grande partie de sa carrière au Conseil régional d'Ile-de-France. Il est élu local dans une petite commune francilienne et est membre du Bureau national de la Nouvelle Droite Populaire. Passionné par l'histoire et par les voyages, il a publié une douzaine de livres. Il fut l'un des fondateurs de National hebdo dans les années 80. Régulièrement il collabore à la revue Synthèse nationale ainsi qu'au quotidien Présent.

Vous pouvez commander ce Bouquin de Synthèse nationale (ajouter 3,00€ de frais de port) à Synthèse nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris (correspondance seulement)

Bulletin de commande

30/08/2012

FN... tout ça pour ça !

SN 26 pub 3.jpgEnfin un vrai livre politique sur le Front national ! Avec Anne Kling, nous sommes aux antipodes des poncifs éculés rabâchés dans les bouquins sans intérêt habituellement publiés par les pseudos "frontologues" de service. Ce livre est une véritable critique nationale des dérives qui transforment petit à petit ce mouvement en un leurre au service du Système qu'il est censé combattre. Il est aussi rempli d'espoir... A lire absolument.
Roland Hélie
FN... TOUT CA POUR CA ! Anne Kling, Editions Mithra, 256 pages, 18,00 €
Commandes : cliquez là

Le numéro 27 de la Revue Synthese Nationale

Couv SN 27.jpg
Au sommaire :
- Editorial de Roland Hélie : Présidentielle, que faire ?
- Tribune libre à Yvan Blot : le point sur la Présidentielle...
- Dossier : le prêt à penser est de gauche, la culture est de droite... articles de Arnaud Raffard de Brienne, Philippe Randa, Patrick Parment, Bernard Bres....
- Le désarmement spirituel de notre société... Georges Dillinger
- Alain Juppé, un étranger aux affaires. Patrick Parment
- Rétablir la peine de mort pour les terroristes... Bernard Bres
- La crise : c'est maintenant ! Pieter Kerstens
- Libre échange et immigration : les deux mamelles de la France enterrée Marc Rousset
- Europe : est-il possible de concilier fédéralisme et souverainisme ? Jean-Claude Rolinat
- L'islam modéré est un leurre... Eric Lhullier
- Pierre Nothomb et la grande Belgique... Lionel Baland
- Un entretien avec Serge Ayoub sur le lancement du mensuel Salut public
- Chronique historique d'Yves Darchicourt
- Les pages du Marquis Jean-Paul Chayrigues de Olmetta
- Un entretien avec Jean-Claude Rolinat sur son dernier livre Salazar le regretté...
- Je suis partout... l'histoire d'un journal Francis Bergeron
126 pages, 12,00 €
Abonnez-vous !
1 an (6 numéros) : simple 50,00 €, soutien 100,00 €
(Chèque à l'ordre de Synthèse nationale)
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Synthèse nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris
(correspondance seulement)
RIVAROL
Hebdomadaire de l'opposition nationale et européenne
82 Bd Masséna 75013 Paris. Directeur : Fabrice Jérôme Bourbon
CCP Éditions des tuileries : 4532.19K
Tél. : 01-53-34-97-97  Fax : 01-53-34-97-98
contact@rivarol.com

jeudi, 13 décembre 2012

A Poitiers, la deuxième mosquée reste d'actualité...

A-Poitiers-la-deuxieme-mosquee-reste-d-actualite_image_article_large.jpg
Source La Nouvelle République cliquez ici

Bouchaïb Kamali est depuis 2011 le président du conseil régional du culte musulman.
Le président du conseil régional du culte musulman défend le projet d’une seconde mosquée. Concernant la première, il souhaite la transparence.
A l'image du reste de la société, la communauté musulmane n'est pas constituée d'un seul bloc. A Poitiers comme ailleurs, des tiraillements, parfois de réelles divergences se font jour entre différentes tendances de l'islam. Elles émergent notamment au sujet de la future grande mosquée, encore en chantier du côté de la rue de la Vincenderie, dont le permis de construire fut accordé en octobre 2003 à l'UOIF ( Union des organisations islamiques de France).
" L'entretien coûtera cher "
 « Déjà en 1998, rappelle le poitevin Bouchaïb Kamali, aujourd'hui président du conseil régional du culte musulman, un groupe avait commencé à réfléchir sur un projet de mosquée à Poitiers. » Puis le projet de la Vincenderie est arrivé, piloté par le président de la communauté musulmane Boubaker El Hadj Amor, l'un des dirigeants de l'Union des organisations islamiques de France, réputée proche des Frères musulmans.
A plusieurs reprises, le financement de la mosquée a posé question. D'où vient l'argent ? Des émirats arabes unis ? Des Etats du Golfe ? « Il n'y a pas de traçabilité et de transparence sur l'origine des fonds. Deux millions d'euros ont déjà été dépensés. Et puis c'est un grand monument dont l'entretien coûtera cher. Comment gérer l'après ? Je crois en fait que tous ces éléments n'encouragent pas la communauté musulmane locale à donner », déplore Bouchaïb Kamali, inquiet par ailleurs de la destination d'une certaine partie de la future mosquée.
 « Un institut de formation ou une école d'imams ? J'émets toutes mes réserves sauf si l'encadrement est fait par l'Etat, de manière claire et transparente. La formation des imams doit se traiter au niveau national. La question ce n'est pas de finir la mosquée, c'est son entretien et son utilisation, une fois construite… »
Aujourd'hui, Bouchaïb Kamali affirme qu'il est en train de travailler « sur un projet poitevin de deuxième mosquée. Une mosquée de proximité qui intégrerait toutes les nationalités et communautés, des Turcs aux Algériens… »

Repères

L'interlocuteur du pouvoir
- Créé en 2003 par Nicolas Sarkozy, le Conseil français du culte musulman (CFCM) se veut l'instance représentative du culte musulman en France. Il intervient notamment dans les relations avec le pouvoir politique français, dans la construction des mosquées, dans le marché des aliments halal ou la gestion des lieux de culte.
- Plusieurs grandes fédérations y sont affiliées parmi lesquelles le rassemblement des musulmans de France (RMF) plutôt soutenue par le royaume du Maroc, la grande mosquée de Paris (Algérie), l'Union des organisations islamiques de France (UOIF), le comité de coordination des musulmans Turcs de France ou encore la fédération française des associations islamiques d'Afrique, des Comores et des Antilles.
- On dénombre actuellement 13 lieux de culte en Poitou-Charentes : Châtellerault (1), Angoulême (3), Parthenay (1), La Rochelle (2), Rochefort (1), Royan (1), Cognac (1), Niort (1), Poitiers (2).
- Contact CRCM : tél. 06.42.56.67.70
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